Carmen de loin

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Acte I : Les Souvenirs de Cherbourg (Ténor solo, T*)

Sous la pluie battante de Cherbourg, je me tiens, Pensées errantes, cœur en peine, cherchant le tien. Mon esprit navigue, en quête d’une présence, Dans l’absence, je trouve une intense essence.

Acte II : Les Eaux Calmes de Vichy (Ténor solo, T*)

À Vichy, les sources chantent des mélodies anciennes, Où je me baigne seul, écoutant leurs douces peines. Chaque goutte porte un espoir, une nostalgie, D’un futur partagé, d’une étreinte en magie.

Acte III : L’Éclat de Deauville (Soprano solo, D*)

Dans la lumière dorée de Deauville, je marche libre, Riant avec le vent, les vagues comme des livres. Chaque pas sur le sable, un désir de te voir, Dans l’écho de ton absence, je puise mon espoir.

Acte IV : Les Mystères des Highlands (Soprano solo, D*)

Au cœur des Highlands, où le ciel touche les terres, Je me perds dans la brume, seule, sans repères. Mais dans cette solitude, ton image m’apparaît, Un phare dans le brouillard, une voie à jamais.

Acte V : La Déclaration Inattendue (Duo comique, T* et D*)

T* : « Dans les brumes de Cherbourg et les eaux de Vichy, Je songe à D*, à sa joie, à sa vie. Un dragon ? Peut-être, mais d’un niais, je tiens la couronne, Pourtant, dans ton sourire, une affection résonne. »

D* : « Ah, T*, cher dragon de Cherbourg, tu m’étonnes, Avec ta niaiserie charmante, mon intérêt, tu le façonne. Ton cœur pur, ton esprit libre, m’attirent à l’infini, Ton charme unique, malgré la maladresse, me ravit. »

Finale : Le Duo des Rêves et des Rires (Ensemble, T* et D*, avec chœur)

« Alors rions, chantons, de Cherbourg à Vichy, à Deauville, aux Highlands, Notre histoire tisse un lien, un duo émouvant, prenant. Car même un dragon niais, avec amour, humour et poésie, Peut trouver dans un cœur bienveillant, sa mélodie. »